Asherah Yhwh

Asherah épouse de Yhwh

Asherah « reine du ciel » épouse de Yhwh et antérieurement femme du dieu EL. Avec le Judaïsme Asherah disparaît du devant de la scène. La Bible ne dit pas tout, excepté que le roi Josias, (VIè siècle), donna l’ordre de détruire toutes les Asherahs.

Destruction des Asherahs
Destruction Asherahs

Or, la déesse Asherah ou l’Eternel-Féminin aide sûrement à approcher la nature réelle de Dieu et son Principe.

Par ailleurs, apprenons que Yahvé a pour le moins des origines étranges. On y viendra peut-être.

 

Pourquoi Asherah a été séparée du côté de Yhwh ?

On invite le visiteur à se rendre sur You tube, pour découvrir qui est la Déesse Asherah, et pourquoi et comment a-t-elle été séparée de Yhwh.

Pour renseigner le sujet, en France, nous avons un grand spécialiste de la Bible : Thomas Römer : « Les autres mots de la Bible » : Asherah. Côté anglo-saxon, William G. Dever, renseigne également.

Complémentairement au documentaire et de notre point de vue. On peut dire que le ciel a été balayé du langage qui permettrait de retrouver ce Dieu d’origine. La preuve : le Judaïsme a supprimé la Déesse Asherah. N’oublions pas que « Yhwh » le dieu biblique est unique.

Quoi qu’il en soit, Dieu (dont on n’a aucune idée) « EST » de toute Eternité, non-limitatif aux Religions, avant même la Création, avant même, le « big bang » avancé par une partie de la communauté scientifique.

En effet, une partie de la communauté scientifique suppose que le « big bang » est le début de l’univers ou son commencement. Mais dans sa logique cartésienne, la Science fit-elle fi de Dieu ou d’un principe supérieur ?

 

Qui est Asherah, quelle est son origine ?

Google informe : Votre page « Asherah » gagne en Popularité. Souhaitons que cela dure. Ajoutant à l’attention des visiteurs, un complément sur les origines de la déesse Asherah :

 

Figurines D’Asherah Retrouvées

Connaissez-vous la déesse Asherah ou Athirat ? L’Ancien Testament aux tendances patriarcales et misogynes, mentionne plus de 40 fois le « Féminin » ou la déesse-mère « Asherah ».

 

Asherah est-elle la déesse cananéenne « Athirat » ?

Son culte en était très répandu dans le Moyen-Orient. On retrouve Asherah, en (Jérémie 7.18, 44.17). Elle est appelée « reine du ciel ».

Par ailleurs, la destruction de toutes les « Asherahs » sous le règne du roi Josias, (VII-VIème siècle av. J.-C.), en dit long. De même, que le caractère intolérant et colérique du dieu unique dans l’Ancien Testament.

La Bible mentionne que les Israélites croyaient tous en un dieu unique, c’est pour le moins inexact. Comment expliquer la présence de petites statuettes ou figurines à l’effigie de la déesse Asherah retrouvées lors des fouilles archéologiques sur tout le territoire d’Israël ?

On serait tenté de penser que la Bible ne restitue pas l’entière réalité sur les croyances anciennes d’Israël. Apparemment, les anciens Israélites ne vénéraient pas un seul dieu.

Asherah la déesse-mère des Cananéens est l’épouse de El, puis la compagne de Yhwh. Avant que le Judaïsme n’éradique toutes représentations féminines, Yhwh n’était pas le seul dieu puisqu’une déesse du nom d’Asherah l’accompagnait.

Par ailleurs, après avoir été adopté par les Pères de l’Eglise Catholique, (dans la grande confusion qui les caractérise), Yhwh devint le dieu * unique de tous les chrétiens !

  • Le mot ou le nom « Dieu » provenant du grec « Zeus » donne en latin « Deus », on l’a rapporté dans le blog. De même que Yhwh est l’un des fils du grand dieu « EL » des Cananéens.
  • Aussi, la Torah ne mentionne pas « Deus » ou Dieu mais uniquement « Elohim » qui est le pluriel, selon le Rabbin  « Jonathan Magonet », de l’un des mots parfois utilisé pour dire « les dieux » !

 

 

Asherah était une Déesse cananéenne
Petites figurines retrouvées en Israël représentant la Déesse Asherah

 

 

 

               Déesse Athirat, (lien, sous la photo) :

Athirat est la déesse babylonienne Ishtar
English-Isthar. Dans la mythologie sumérienne Athirat est appelée Isthar.

 

La méconnaissance du célio

A présent, exposons quelques uns des grands axes du livre DIEU D’ORIGINE. Dans l’Ancien Testament, la loi de Moïse interdisait de scruter le célio pour ne pas en percer les mystères cachés sous peine d’anathème.

C’est une des raisons, pour lesquelles, à l’inverse des Égyptiens, et du Christ Futur, les Judéens voulaient un dieu non identifiable.

Les pères de l’Eglise Catholique, scrupuleux de respecter à la lettre, les Ecritures, ont emboité le pas à la loi de Moïse. Ils ont approuvé la sentence et l’ont imprégné avec vigueur dans les mentalités.

Or, les fidèles, et par répercussion, les laïcs, sont demeurés dans l’ignorance de « Dieu » comme d’un « Principe- Causal » régissant l’univers et les mondes. Conditionné par les Ecritures sous l’autorité de l’Eglise, nul ne songea à remettre en cause la nature exclusivement Masculine de Dieu.

Au détriment bien sûr du Féminin et Ciel, pourtant omniprésent dans les nombreux documents anciens que l’Eglise possédait.

 

Tradition Christianisme

On semble l’ignorer, mais à l’origine, la tradition du christianisme intégrait dans son enseignement le Féminin et elle se rapportait également au Ciel. C’est un point important à retenir. Jésus en est la preuve vivante.

Seuls, les Pères de l’Eglise Catholique, modelés sur l’esprit patriarcal de l’Ancien Testament ont façonné une religion selon leur vue. En définitive, ils se sont bien gardés d’y introduire les aspects féminins et célestes.

On ne pense pas à cela, mais la méconnaissance du ciel, cet élément au-dessus de notre tête, a impacté un grand nombre de gens.

On appréhende toujours la mort, même si c’est un sentiment légitime et humain. La peur du millénariste est aussi vive qu’en l’an mille. Autant dire, le progrès n’a rien arrangé.

 

Cielo

Sans connotation religieuse particulière, le cielo est un guide, un outil permettant d’anticiper le devenir d’une tradition. Il permet également de déterminer avec exactitude la durée des Eres successives et aide à situer dans le temps, des anciennes civilisations, des dynasties, des clans, des sectes, qui s’en sont inspirées.

Ces dernières, ont pu, à travers un langage imagé, exprimer leur cosmogonie, laissant ainsi des traces à la postérité. Comparativement, il n’y a aucune trace, ni aucun vestige de la connaissance des Hébreux.

Par ailleurs, les recherches archéologiques et les recherches épigraphiques n’ont rien apporté de plus. Les Hébreux n’ont laissé que ce qui fut par la suite transcrit en des livres ou messages dont on ne peut établir une datation qu’en fonction des probabilités historiques contenues dans le « Livre Des Rois ».

 

La Résurrection de Jésus

Le ciel renseigne le début du processus de la Résurrection de Jésus. Contrairement à l’avis des grands penseurs à la tendance cartésienne, la Crucifixion et la Résurrection de Jésus, ont laissées des traces. Au Golgotha ou Mont du Calvaire sous le regard de Dieu, le ciel dessinait une mandorle durant la Crucifixion de Jésus.

Le livre DIEU D’ORIGINE se présente en deux parties. Dans les grands axes, la première a trait à la Bible et à la Religion, la seconde, à la Science et à la Religion. Sans rigorisme aucun, mais plutôt pour favoriser la pensée occidentale, on a choisi la voie christique, à la recherche de ce Dieu d’origine.

 

Gloire à Dieu dans le ciel

Est-ce une chanson ou un chant liturgique ?

 

DIEU D’ORIGINE 8 Grands Axes :

  1. Tout d’abord, le ciel est présent dans l’ouvrage, certes, non d’une manière infantile comme le chant : « Gloire à Dieu dans le ciel ». Il n’empêche que ce chant liturgique et un message d’Amour et de Paix, honorant le Très-Haut, quel que soit le Nom.

Si vous le souhaitez, vous pouvez écouter la compilation en cliquant sur le lien ci-dessous. L’ensemble des chants rendent tous hommage à Dieu dans le ciel.

Ensemble vocal l’Alliance – Gloire à Dieu dans le ciel

 

Le livre DIEU D’ORIGINE comble de nombreuses lacunes pour lesquelles aucun semblant de réponse convaincante n’a été émis par les représentants de la Religion. Ceux-là, principalement les Pères de l’Eglise Catholique, ont attaché plus d’importance aux Ecritures et aux personnages historiques, qu’à l’origine, qui pouvait être abstraite, donc, céleste.

 

Récits Mythologiques

  • 2. Contrairement à l’avis de l’exégèse moderne, en général, et de notre point de vue, on explique que les récits mythologiques renseignent parfois, l’origine d’un texte sacré ou l’histoire d’un récit biblique.
  • Par exemple, le Temple de Salomon et la légende d’Hiram – le lien-ci apporte un détail précis sur l’histoire et la légende d’Hiram, malheureusement, prise au pied de la lettre, le courant franc-maçonnique s’est accaparé de la légende d’Hiram, jusqu’à fonder le symbolisme de son initiation, croit-elle.

 

Temple de Salomon
  • 3. Il ne reste aucune trace du temple de Salomon, quand même aurait-il existé. Et, même si quelques irréductibles un peu abusés prétendent le contraire, preuves à l’appui. Aucun vestige appartenant à l’époque de Salomon, pas plus, qu’antérieurement, à l’époque du roi David, son père, n’a permis à ce jour, de confirmer de pareilles assertions.
  • Certes, c’était sans compter le concours du professeur « Avraham Biran » du Hebrew Union Collège à Jérusalem.
  • Toujours est-il, l’interprétation, de « Maurice Guinguand », éclaire d’un jour nouveau le sujet. Loin, de tout ce qui a pu être brodé et tissé sur la légende d’Hiram !

 

Franc-Maçonnerie
  • 4. A notre époque, la franc-maçonnerie se vante de pouvoir expliquer le parcours initiatique d’Hiram. Elle s’est d’ailleurs octroyée, son principe, selon elle. Dans le but de faire progresser le récipiendaire -débutant-franc-maçon- degré après degré, jusqu’à la maîtrise finale.
  • D’ores et déjà, vous pouvez vous faire une idée sur les fanfaronnades-francs-maçonniques et la légende Hiram, en effectuant une recherche sur Google ou sur les moteurs de votre choix.

Or, ni la franc-maçonnerie, ni la plupart des gens, fiers de penser-croire, interpréter la légende d’Hiram, n’ont en fait, jamais effleuré la vérité sur Hiram.

Alors, à notre tour, de dire haut et fort, aux dépens de la grande érudition d’illustres auteurs. L’origine de la légende d’Hiram est avant tout céleste. Voilà la preuve d’une méconnaissance du ciel.

 

Maurice Guinguand

  • 5. Pour étayer notre propos, nous rapportons un extrait du manuscrit, chapitre. 13, (ici, vous pouvez découvrir en langue anglaise la legend of Hiram). Le visiteur pourra se faire une idée sur la véritable histoire d’Hiram, le Fondeur. Clic ici. L’interprétation est réellement inédite. Par Maurice Guinguand, écrivain ésotériste, ancien Compagnon, (1916-1998).

 

Légende d’Hiram

La Vérité sur la légende d’Hiram. Rare d’une connaissance que nous n’avons pas ou que nous n’aurons jamais, surtout au train où vont les choses.

L’archéologie a passé au peigne fin la terre d’Israël à la recherche d’indices qui lui aurait permis de retrouver des traces ou des vestiges du palais de David et du Temple de Salomon en vain.

Or, si l’archéologie avait eu une quelconque notion du ciel et le savoir pour l’interpréter, cela aurait pu lui épargner d’aussi longues et pénibles recherches. Au fil du temps, les découvertes s’étant avérées infructueuses, l’archéologie en a déduit que le temple de Salomon est un mythe. C’est un début.

 

Révélation Biblique

  • 6. La Révélation selon la Bible  est considérée comme (étant) la parole de Dieu. Aussi, on révèle dans notre ouvrage, comment et par quel procédé, ignoré de tous ou presque, la Révélation a été envisagée et authentifiée.
  • On a inculqué l’idée d’une, (révélation venant d’en Haut), dans l’esprit des profanes, sans aucune notion. Afin qu’ils croient et qu’ils répètent comme des perroquets, ce que d’autres, actuellement, affirment avec autant de certitude : Les Ecritures proviennent de la « Parole de Dieu ». La Bible est-elle la parole de Dieu ?
  • Dieu, dont nul ne sait rien, rappelons-le. Souvent, on croit à la seule vérité de ses convictions. Ainsi, le besoin de croire prévaudrait sur les savoirs. Croire que la Bible est la parole de Dieu, c’est peut-être un acte de Foi, mais hors croyance et religion, cela ne veut rien dire.

 

Dieu Divinité Suprême

  • 7. En ce qui concerne une divinité suprême, il serait à penser, que ce “Dieu” d’origine ne serait point limitatif, ni aux Ecritures, ni à la Religion. De plus, ce “IL” serait très éloigné des impressions humaines. On n’a pas idée.
  • La Bible a été en partie nécessaire pour instruire le livre, jusqu’à un certain point. En effet, la Bible atteint ses limites, lorsqu’il s’agit de répondre à d’autres questions.
  • Par exemple, le monde terrestre serait-il le seul dépositaire d’un message divin ? D’autres mondes existeraient ?

– De l’existence éventuelle d’autres mondes et si i la thèse franc-maçonnique intéresse – cliquer sur le lien : Qui est le grand architecte de l’univers ?– (here) – Si les thèses de Jordano Bruno – (Engish) – intéressent, cliquer sur  lienQui ordonnerait l’univers et les mondes ? Sur ces questions, la Bible demeure silencieuse.

Or, l’univers est incommensurablement si vaste que la Science n’en connait pas ses dimensions. Aussi, par des moyens d’observations, toujours plus sophistiqués, la plupart des scientifiques – Seth Shostak – (link) – est du nombre- en sont arrivé à la conclusion : il y a de la vie extraterrestre ailleurs.

 

Au commencement Elohim créa le ciel et la terre

  • 8. Avant de débuter des recherches, avant de frayer un chemin, il faut un commencement. Dès-à-présent, orientons une nouvelle voie, une voie plus directe. D’ores et déjà, tentons de faire toute la lumière sur le Dieu biblique et son (présumé) commencement. Pour se faire, la version originale de la Bible hébraïque[1] est indiquée.

Premier verset de la Bible, en hébreu : « Bereshit bara Elohim et ha shamaïm vé et ha éretz ».

Premier verset de la Bible, traduit : « Au commencement Elohim créa le ciel et la terre ».

Selon Marc Halevy : « Dans sa traduction la plus littérale et la plus proche de l’hébreu classique, le premier verset du livre de la Genèse, que l’on traduit généralement par : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre », doit être traduit correctement par : « Dans un commencement, Il engendra des dieux avec le ciel et avec la terre. »

On comprend vite qu’il y a là plus qu’une nuance… Il y a là un polythéisme radicalement étranger au moule monothéiste où l’on a, rabbins et chrétiens confondus, voulu faire rentrer de force la matière textuelle des écrits lévitiques. »

C’est un avis personnel, certes. Mais quand même, Marc Halevy, gagne à être connu, avec son ouvrage : « Kabbale cosmologique. Six jours pour un monde »[2], l’alliance du cartésianisme scientifique et de l’exégèse biblique, ne produisent pas toujours les résultats escomptés. Cependant, la traduction du premier verset de la Genèse interpelle.

 

Les Saintes Ecritures

Selon les Saintes Ecritures, Dieu est le créateur du ciel, de la terre, et de tout son ensemble. Les deux récits dans la Genèse biblique convergent en ce sens. Dans ce cas, apprenons que dans la Bible hébraïque, le nom « Elohim[3] » – précédé du nom « Adonaï », se rapporter à Genèse 2,16-17 : « Adonaï Élohîm (traduit par L’Eternel Dieu) donna un ordre à l’humain en disant.

« De tout arbre du jardin, tu mangeras …[4] » – est l’un des noms les plus utilisés pour désigner au singulier, le Dieu d’Israël. Selon le Rabbin et théologien Jonathan Magonet, (page 294), « Elohim est le pluriel de l’un des mots, parfois utilisé pour dire les dieux. »

 

Annotations :

[1] A ne pas confondre avec la Bible hébraïque retraçant la vie de Jésus et de ses apôtres. Cette Bible était exempte des deux récits de la Genèse, que l’on découvre d’entrée, avant l’Ancien Testament, dans la Bible chrétienne.

[2] Marc Halevy, « Kabbale cosmologique. Six jours pour un monde », (2013).

[3] « Elohim est un pluriel incontestable signifiant « les dieux » (pluriel de Elohéh, la « déité », qui est l’abstraction de El, le « dieu »). Marc Halevy : « Les mensonges des Lumières » (Français) Broché – 6 avril 2018.

[4] Traduction littérale : Et Adonaï Élohîm donna un ordre à l’humain en disant : « De tous les arbres du jardin manger tu mangeras. Mais de l’arbre du connaître bien et mal, tu n’en mangeras pas car au jour où tu en mangeras, mourir tu mourras. »

 

Explication 1.

La plupart des auteurs versés dans la Religion, qu’ils soient des commentateurs à tendances bibliques, sans aucune qualification, donc des néophytes, – théoriciens, théologiens, Rabbins Juifs, membres de l’Église catholique, professeurs de religions. Exégètes, philologues, biblistes, pasteurs, écrivains, historiens, philosophes, (créationnistes moins), évolutionnistes, et autres. Aucun ne fait jamais référence au ciel.

Renseignez donc : Quelle est l’origine de Dieu ? sur un moteur de recherche, par exemple Google, eh bien, que résulte-t-il ? La plupart des gens étayant leur propos sur Dieu, ne font aucunement référence au ciel.

La présente démonstration se limitait à trois résultats présents sur la première page Google. Libre à chacun, de passer en revue toutes les pages. Mais en définitive, qu’il s’agisse de la première ou de la dernière, on se rend vite compte, qu’aucun commentateur, malgré le soin apporté à sa page, à grand renfort de versets bibliques, n’a eu l’idée de se référer au ciel.

Force-est de reconnaître, qu’aucun commentateur ne cherche à placer Dieu dans son contexte d’origine : le Ciel.

Or, quand même, parviendrait-on à situer « Dieu » dans le ciel, dans la vie, et dans son ensemble :

 

On ne saurait supprimer le ciel du langage qui nous permet de retrouver ce Dieu d’origine.

 

 

La Franc-Maçonnerie fonde son initiation sur la légende d’Hiram