C’est quoi la Divinité de Dieu ?
La Divinité de Dieu pourrait s’expliquer grâce à Jésus. Il est un aspect que l’on ne prend pas en compte. Jésus parle d’un « Père » dans les cieux. Pourquoi ?
La Divinité de Dieu
Le Père dans les cieux ne serait-il qu’une métaphore sur le plan matériel ?
Mais sur un plan supérieur, le « Père » pourrait être aussi une « Energie-Vibration-Lumière » Personnifiée en le « Fils ».
On pourrait penser que pour faciliter l’entendement Jésus s’est référé à quelque chose de familier. Il aurait cherché un moyen permettant de remonter du visible à l’invisible afin d’établir un lien intime avec l’Insondable. Les croyants le nomment « Dieu ». Effectivement, sur le plan terrestre, le père de famille n’est-il pas reconnaissable ?
- Il serait vain de tenter de renseigner la Divinité de Dieu sinon autrement que par un intermédiaire sur un plan astral supérieur et non astronomique.
Père Céleste
Par comparaison, on pourrait en déduire que le « Père Céleste » était identifiable en « Jésus physique ».
Le Christ est le premier à avoir apporter la notion du baptême en l Esprit-Saint. Aussi, fallait-il être indissociable d’un Pur-Esprit.
Par analogie, cela révèle le Père dans les cieux, (défini ainsi par Jésus), comme le Fils incarnant sur la Terre, « Dieu Vivant », mais sans pour autant être lui-même Dieu.
Jean, 5.45-47
Jésus s’adressant aux savants Juifs :
Jean, 5.45-47 : « 45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père ; celui qui vous accuse, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
46 Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi.
47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? »
Divinité de Jésus
Approfondissons un peu la divinité de Jésus et non celle de Dieu, incommensurable, insondable et infini, pour cerner de part et d’autre une contradiction effective. Les musulmans ne peuvent pas concevoir l’union de deux natures en Jésus, à savoir, la nature divine et la nature humaine.
Dans cette perspective, l’incompréhension et le rejet s’installent.
Or, la pensée musulmane révèle l’impossibilité de tout un chacun d’entrevoir une autre réalité que la sienne sur un plan matériel.
C’est un fait, les croyants croient. Mais la croyance porte à croire plus qu’à savoir. Certes, chercher « midi à quatorze heures » n’apporte pas toujours la solution. Mais cela aiderait peut-être à se faire une idée sur la divinité.
Chaque être ou presque a une part divine en lui, (enfouie ou latente), et dépendant de divers facteurs inhérents à l’hérédité tout d’abord et à la destinée individuelle.
Durant l’existence terrestre, cette infime partie divine ou céleste, croît ou décroît, selon le mode de vie, les pensées, paroles et actes.
Animation Divine
Rapportons le résultat d’une observation. Par Maurice Guinguand, écrivain ésotériste : « l’esprit animé d’une petite lumière bleue descend dans le fœtus de la femme enceinte 222 jours avant la naissance. »
Selon l’auteur, la lumière est dans la matière. La nature divine est en l’homme et la femme.
Mais tout au long de sa vie l’homme est sans cesse tiraillé entre un haut et un bas. Beaucoup s’adonnent au bas car ce niveau est le plus accessible.
Sans a priori, on retrouve chez des gens lettrés versés dans la Spiritualité une similitude manifeste. Alors que les pensées aspirent vers le haut, les tendances les font choir vers le bas.
De cette manière, on ne saurait, ni concevoir un plan autre que celui de notre appartenance physique, ni dévoiler la Divinité.
La Pensée Musulmane
Le refus de croire à la divinité de Jésus soulève une contradiction autant chez les Juifs que chez les musulmans.
En effet, si Juifs et musulmans croyaient réellement aux Prophètes, ils auraient cru à la divinité de Jésus.
L’impossibilité de concevoir l’union de deux natures divine et humaine (sans opposition) en Jésus, témoignerait d’un enracinement de la pensée, plutôt que d’une élévation de celle-ci.
Le Judaïsme ne conçoit pas plus, l’union de deux natures en Jésus. Or, l’esprit est lié à la matière, et en principe en chaque être. Combien plus en Jésus.
Le cas du Christ est unique. Il a incarné le Verbe parmi les hommes, les femmes et les petits enfants. Matthieu 19 :14 : « Laissez les petits enfants venir à moi, et ne les empêchez point ; car le Royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent ».
Fils de Dieu ?
Devant ce constat, on pourrait se demander, qui a eu dans l Histoire de l Humanité un destin semblable, égalant voire surpassant celui de Jésus-Christ.
En fait, la question porte à la réflexion, si peu que n’intervienne de trop l’intellect, utile cependant pour envisager à un degré moindre de la nature humaine, la singulière incarnation de Jésus.
Au regard de l Esprit, animant le Jésus physique, comment ne pas situer le Personnage sur un plan supérieur proche de la Divinité ?
A ce stade, n’y aurait-il qu’un pas à franchir pour appréhender le sens vrai donné à « Fils de Dieu » ?