Abus sexuels Eglise Catholique

Religieuses abusées sexuellement

Les abus sexuels pratiqués sur des religieuses dans Eglise Catholique sont myriades, (religieuses abusées arte rediffusion), comme les violences faites aux femmes autant dans les foyers laïques que dans les congrégations religieuses.

L’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) a innové en 1993, la Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Le mouvement #MeToo participe. Plus d’informations détaillées ici.

 

 

Mouvement #MeToo

Afin de sensibiliser le public et de participer au renforcement du mouvement #MeToo, vous pouvez consulter le message que j’ai adressé aux religieuses dans le monde victimes d’abus sexuels dans Eglise catholique.

Chacun, à sa manière, peut contribuer à soutenir et à encourager les religieuses dans le monde entier. Puissent elles être de plus en plus nombreuses à dénoncer les auteurs présumés d’abus sexuels.

A compter du Vatican des réseaux organisés existent. Les membres sévissent à l’encontre d’anciennes et de nouvelles victimes fraichement arrivés pour poursuivre leurs études.

Combien sont-elles, par le monde, des jeunes religieuses, envoyées par leurs communautés au Vatican, pour parfaire leurs études ?

La plupart, vierges et souhaitant le rester, afin de favoriser la communion avec Dieu.

C’est un choix personnel et sans doute, une ligne de conduite astreignante à suivre.

 

Pierre Puccio Dénonce Abus Sexuels - Eglise Catholique
Religieuses Abusées Sexuellement – Eglise Catholique.

 

 

Il y a Tant à Faire …

Chacun peut concourir à une évolution ecclésiastique dans le but que la femme soit considérée non moins l’égale de l’homme. Or, dans le milieu patriarcal où se positionne Eglise Catholique, tout est à faire ou à refaire.

Selon les Ecritures, l’Homme, déjà considéré comme un demi-dieu, comparativement à la femme, fait peser sur elle, un soi-disant Péché, lourd de conséquences.

De fait, les privilèges accordé aux mâles, toujours selon les Ecritures, (absurdes à mon sens), donnent des ailes à l’homme d’église, au Prêtre, à l’Evêque déviant s’identifiant à Dieu, dans le seul but d’acquérir encore plus de Pouvoir.

De cette manière, le zélé religieux dirige ses ouailles à sa guise et comme bon lui semble.

 

Franc-Maçonnerie Vatican II

Il apparaît clair, que depuis Vatican II, l’Église n’est plus à proprement parler « catholique », puisqu’elle est devenue principalement œcuménique.

Depuis 1962, lentement mais sûrement, Vatican II dévie sensiblement la trajectoire de l’Église Catholique d’antan.

A quand son apogée à force de scandales divers médiatisés ?

A notre époque, la pédophilie est à la une. Les crimes sont révélés au public et nombreux autres cas ne cesseront dans les années à venir d’être dévoilés au grand jour.

Tous ces faits regrettables et irréversibles pour les victimes plus particulièrement, renforcent en réalité une machination commune orchestrée par de hauts dirigeants francs-maçons, visant à plus ou moins long terme, l’achèvement du Catholicisme.

Mais, quoi de plus machiavélique* que d’entacher et de participer à un projet de longue haleine, de surcroît de l’intérieur, pour discréditer Église catholique ?

Nous ne défendons pas ici les criminels, les prêtres et les pères pédophiles. Nous ne cautionnons pas plus, les abus sexuels, pratiqués sur des religieuses.

 

Prêtres Sans Foi

Malgré des études très poussées, hermétiques sont-ils, au Nom de « L’Eternel », les prêtres sans Foi, et les religieux toutes catégories confondues.

Mais, un jour viendra où chacun selon son rang, devra rendre des comptes.

Personne n’échappera !

 

Les vœux comprennent : « Obéissance, Pauvreté, Chasteté ». Mais, la convoitise, la malignité, la perversité l’emportent chez un grand nombre de religieux mâles assoiffés de sexualité sous toutes les coutures.

« Au Nom de Dieu », qu’ils bafouent – impunément (pensent-ils), puisqu’ils sont en dehors de tout circuit de conscience, ils exercent un pouvoir tout relatif.

Il est vrai, qu’il y aurait plus de facilité à faire le mal, qu’à faire le bien. Mais, tout de même. Ceux-ci sont des serviteurs de Dieu ! ce sont, des représentants du Christ sur la Terre. Eh, bien, non ! ceux sont avant tout des hommes, et du pire acabit, au même rang, que les criminels.

 

Prédateurs Eglise Catholique

Les prédateurs au sein de Eglise catholique, savent argumenter et convaincre. Ils parviennent à soumettre leur victime, adoptant la bonne attitude, anticipant l’effet escompté. Leur malignité ordinaire, voire grossière, les renforce.

Dans la basse-cour constituée de mâles patriarcaux, heureux sont-ils, les bougres lubriques, échangeant entre eux, et d’un ton solennel, leur prochain délit. Conquérants se sentent ils, à leurs heures, prêts à influencer, à manipuler, et à diriger à leur guise les plus malléables.

En fait, ces diables habiles, en principe, savent atteindre la sensibilité de la religieuse novice, dépourvue d’un répondant suffisant.

Dans la plupart des cas, malheureusement, la religieuse novice ne saurait repousser, tantôt les avances, tantôt les premiers attouchements. A cet instant, la religieuse abusée se réfugierait plutôt en son âme meurtrie.

Pourtant, un pareil scénario à deux sous, et si grossièrement interprété, par un pervers en soutane devrait d’entrée trahir ses intentions impures.

Certes ! mais, plus sûrement, pour quelqu’un d’extérieur, hors d’un conditionnement religieux. En fait, pour une personne extérieure à la vie religieuse, ce genre de comportement, de la part d’un prêtre ou d’un père de l’église, serait d’emblée jugé pas très catholique.

Dans la plupart des cas, une personne extérieure à la vie monastique le verrait venir, le religieux lubrique. Mais, en vase clos, à l’abri derrière des remparts, l’emprise exercée est plus que saisissante, pour un grand nombre de religieuses.

 

Religieuses soumises

Il faut dire, qu’avant même, leur entrée dans la vie monastique, beaucoup de religieuses sont déjà en partie moralement soumises et disciplinées. C’est l’âme, qui veut cela ou si l’on préfère, c’est la raison de la religieuse.

C’est une acceptation volontaire et mûrement réfléchie. La majorité des religieuses souhaitent ardemment consacrer leur vie à Dieu et elles souhaitent également aider les plus démunis.

Par la suite, elles seront progressivement endoctrinées et la morale catholique scellera leur intime conviction. Les enseignements de leurs Pères, perçus comme des « saints hommes », seront reçus, à travers eux, comme la parole de Dieu. D’autres points sont à ne pas négliger.

 

Homme Dieu

La présence du prêtre, donc de l’homme, perçu également comme un homme dieu, intimiderait grandement la religieuse et faciliterait l’emprise psychologique.

De plus, la prestance d’un mâle pervers dominant se verrait augmentée par son habit – qui ne fait pas le moine – et renforcerait l’impression et l’aspect patriarcal du triste sire.

De plus, le langage exercé des prêtres lubriques, soutenu par une argumentation sans faille, qui plus est, au Nom de Dieu et du Christ ! confondrait d’autant plus, la personne visée.

La religieuse, déjà quelque peu soumise, en fonction de ses propres concepts, se verrait confrontée néanmoins à une rude épreuve. En de pareils moments, la Foi pourrait vaciller, pendant que l’effroi ferait place à un profond désarroi.

Il n’y aurait, alors, plus aucun obstacle, avant de disposer de la pure et naïve religieuse, et comme bon semble.

Or, il faut le dire. Haut et Fort ! la conduite d’un religieux animé d’une convoitise dirigée, en vue de posséder autrui est une violation morale, mentale, et spirituelle.

 

 » Michelle-France Pesneau « 

C’est une honte ! un blasphème impardonnable et lourd de conséquences comme vous pouvez le découvrir à travers la Rédemption du Christ. Mais avant, soyons attentifs au témoignage, d’une ex religieuse « Michelle-France Pesneau », dans le cadre d’un documentaire diffusé sur Arté. Son témoignage renseigne, sur les méthodes et les arguments employés.

 

Pis, pour justifier ses actes, un prêtre avait pour habitude de conclure en lui disant :

« Je suis le petit-instrument de Jésus ».

 

Soumission

La soumission est reine au sein de l’Eglise Catholique, et ce, depuis des décennies. Au premier abord, on pourrait penser que l’ex-religieuse, Michelle-France Pesneau, avait le choix. Elle aurait pu décider de partir, surtout sur une aussi longue période.

En fait, pour comprendre son non agissement, il faut cerner l’état d’esprit animant cette personne durant des années.

Religieuse novice, elle décide de rentrer sous les ordres monastiques en consacrant sa vie à Dieu et pour le bien des êtres.

La personne est simple, donc naïve, et l’environnement patriarcal est pleinement ressenti comme une soumission.

Dans ces conditions, le contexte intérieur d’un couvent peut également se conjuguer au milieu familial dans lequel la personne a été éduquée.

L’éducation reçue dans le milieu familial où le père est reconnu comme le chef de la famille, tandis que la mère demeure soumise à son mari.

En conclusion, à cette époque, la morale pure et dure était renforcée par Les Saintes Ecritures et par l’influence Paulienne :  » … Femmes soyez soumises en tout à vos maris ! « .

 

On retrouve ces percepts absurdes dans les liens sacrés du mariage.

Pensons-y.

 

A la suite d’une plainte d’un prêtre allemand, le documentaire Arté a fait l’objet d’une demande de suppression.

 

Quoi qu’il en soit, dans l’autre monde, « diables de prêtres », que vous êtes ! le niant, il n’y a pas de place, pour le mensonge.

Un peu avant, et surtout après la mort, la Vérité implacable sera ce qu’elle sera.

Et, malgré votre fourberie.

Pour vous être fourvoyé.

Et surtout, pour avoir abusé d’autrui.

La Vérité paraîtra !

 

Combien plus, pour les criminels et les religieux, au même rang sont-ils !

 

 

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